L’équipe du projet

Pierre Verquin
Réalisateur

Télio Valencia
1er assistant Réalisateur

Thibault Fromentin
2ème Assistant réal

Richard Vandal
Chef opérateur Image

Nahoum Lougrada
Cadreur

Samuel Roelandt
Chef Electro

Joannie Guenard
Régisseuse plateau

Aodren Roth
Chargé de production

Maragaux Mulenders
Chargée de production

Blanche Debeusscher
Directrice de Casting

Florent Carbonnel
Responsable costumes
Les acteurs

Gabriel de La Fuente
Lucien Fouchard

Maxence Dandois
Bernonville

Jordan Goubier
Tom

Margaux Moreeuw
Elsa

Paul Guion
Aaron

Blanche Debeusscher
Louise

Thadée Boulogne
Le petit Moriot

Martial Durin
Le père Fouchard

Valérie Lougrada
Martha Desrumaux
Le réalisateur

Enfant à Roubaix, je grandi en étant baigné dans le théâtre d’éducation populaire. J’y prend très vite conscience de l’importance de l’art sur les esprits. Là-bas, les textes de Brecht m’initient à la lutte des classes.
Adolescent, je décide de me diriger vers le cinéma et, après un BTS en exploitation audiovisuelle en 2021, je réalise plusieurs formes courtes en amateur.
J’essaie d’y aborder plusieurs thèmes comme l’amour, la sexualité ou encore, ici par le biais du documentaire, de l’engagement politique, de la gentrification ou de l’identité nationale.
Ce film est plus ambitieux que la plupart des projets audiovisuels ou artistiques que j’ai pû mener jusqu’ici.
Pourtant, dans une période où l’histoire est tordue au profit des ambitions politiciennes, où l’engagement collectif est attaqué, il me semble indispensable à faire aboutir.
Ce film est particulièrement personnel, presque intime, car je ne me suis pas “fait tout seul”, mon engagement m’a forgé.
La rage au cœur raconte l’histoire d’un jeune homme parmi des centaines de milliers d’autres pour qui l’engagement n’est pas un état d’esprit abstrait mais réside dans la mise en dynamique d’une machine collective appelée organisation de classe.
Pour qui il s’agit, mieux que de penser le monde, de le transformer.
Pourtant, dans une période où l’histoire est tordue au profit des ambitions politiciennes, où l’engagement collectif est attaqué, il me semble indispensable à faire aboutir.
Ce film est particulièrement personnel, presque intime, car je ne me suis pas “fait tout seul”, mon engagement m’a forgé.
La rage au cœur raconte l’histoire d’un jeune homme parmi des centaines de milliers d’autres pour qui l’engagement n’est pas un état d’esprit abstrait mais réside dans la mise en dynamique d’une machine collective appelée organisation de classe.
Pour qui il s’agit, mieux que de penser le monde, de le transformer.